Photos 2006 - Pleine Corde

Epreuve mythique dans le monde des passionnés des véhicules historiques, le Tour Auto parcourt chaque année la France à travers les plus beaux lieux du sport auto : spéciales et circuits. Cette 15ème édition débutait par une superbe spéciale en Haute-Marne en-dessous de Langres : entre villages, forêts et prés verdoyants.
La course étant divisée en différentes sections, on note plusieurs vainqueurs. En compétition, victoires de Hugenholtz en VHC, Junne en groupe G, Ragnotti en groupe H et Pages dans le petit groupe I. John Logan s’empare quant à lui de l’Indice de Performance. Enfin en régularité, l’équipage Linwood sur leur Alfa l’emporte.

La section compétition
Section la plus animée, la partie compétition regroupe les VHC, groupes G, H, I et Indice de Performance. Elle comprend les voitures historiques de compétition entre 1951 et 1973, conformes au règlement FIA. Seul juge : le chrono, que ce soit pour l’équipage sur les spéciales ou le pilote seul sur les circuits. Le plus rapide l’emporte comme dans les compétitions modernes. Dans la catégorie VHC, voitures de 1951 à 1965, Hugenholtz sur son agile Lotus Elan l’emporte facilement devant la Jaguar Type E de Puren et l’autre Lotus de Bentz. Les groupes G/H/I comprennent les autos à partir de 1966 : en général d’anciennes voitures de rallye (Alpine, Porsche, …) ou des monstres de puissance venant du circuit (Ferrari, Cobra, Mustang, …). Dans le groupe G, triplé Porsche mais 3 modèles différents : la 910 de Junne devant la 906 de Guittard et la 914 de Martin. Dans le groupe H, notre « Jeannot » Ragnotti national l’emporte sur son Alpine, devant les grosses 911 RSR de Lecourt et Verchere. Enfin dans le groupe I : trois Ferrari 308 et à l’arrivée on retrouve Pages, Entremont et Dudley dans cet ordre. L’Indice de performance revient à la Porsche 356 de Logan.

La section compétition

Section la plus animée, la partie compétition regroupe les VHC, groupes G, H, I et Indice de Performance. Elle comprend les voitures historiques de compétition entre 1951 et 1973, conformes au règlement FIA. Seul juge : le chrono, que ce soit pour l’équipage sur les spéciales ou le pilote seul sur les circuits. Le plus rapide l’emporte comme dans les compétitions modernes.
Dans la catégorie VHC, voitures de 1951 à 1965, Hugenholtz sur son agile Lotus Elan l’emporte facilement devant la Jaguar Type E de Puren et l’autre Lotus de Bentz. Les groupes G/H/I comprennent les autos à partir de 1966 : en général d’anciennes voitures de rallye (Alpine, Porsche, …) ou des monstres de puissance venant du circuit (Ferrari, Cobra, Mustang, …). Dans le groupe G, triplé Porsche mais 3 modèles différents : la 910 de Junne devant la 906 de Guittard et la 914 de Martin. Dans le groupe H, notre « Jeannot » Ragnotti national l’emporte sur son Alpine, devant les grosses 911 RSR de Lecourt et Verchere. Enfin dans le groupe I : trois Ferrari 308 et à l’arrivée on retrouve Pages, Entremont et Dudley dans cet ordre. L’Indice de performance revient à la Porsche 356 de Logan.

La section régularité
Cette catégorie ne réclame pas spécialement de vitesse, mais une très grande précision et une bonne gestion du temps. Pilotes et copilotes, toujours ensemble, choisissent un temps à réaliser et doivent s’en approcher le plus possible. Plus la différence de temps est importante, plus la pénalité augmente. La puissance n’est donc pas obligatoire dans cette section. De la 4CV à la Ferrari, tout le monde peut gagner ! Là aussi les autos doivent avoir été construites entre 1951 et 1973, sans aménagement particulier. Habitués du haut des classements, les deux premiers de cette édition ont encore démontré leur rigueur. L’Alfa Romeo Giulia de Bob et Ann Linwood l’emporte. Ils ont reçu 22 secondes de pénalité en moins que l’équipage de l’Aston Martin DB4 : De Lesseps et Brand. Enfin pour clôturer ce podium : une grosse auto avec la Porsche 911 RS de l’équipage Yougoslave Milojkovic-Ljubisavljevic. Ils terminent de justesse, 2 secondes, devant la Triumph TR6 de Ongari-Amato, qui échoue donc au pied du podium.

La section régularité

Cette catégorie ne réclame pas spécialement de vitesse, mais une très grande précision et une bonne gestion du temps. Pilotes et copilotes, toujours ensemble, choisissent un temps à réaliser et doivent s’en approcher le plus possible. Plus la différence de temps est importante, plus la pénalité augmente. La puissance n’est donc pas obligatoire dans cette section. De la 4CV à la Ferrari, tout le monde peut gagner ! Là aussi les autos doivent avoir été construites entre 1951 et 1973, sans aménagement particulier.
Habitués du haut des classements, les deux premiers de cette édition ont encore démontré leur rigueur. L’Alfa Romeo Giulia de Bob et Ann Linwood l’emporte. Ils ont reçu 22 secondes de pénalité en moins que l’équipage de l’Aston Martin DB4 : De Lesseps et Brand. Enfin pour clôturer ce podium : une grosse auto avec la Porsche 911 RS de l’équipage Yougoslave Milojkovic-Ljubisavljevic. Ils terminent de justesse, 2 secondes, devant la Triumph TR6 de Ongari-Amato, qui échoue donc au pied du podium.